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 chronique d'un panda

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-demoi-

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MessageSujet: chronique d'un panda   chronique d'un panda Icon_minitimeMar 3 Avr - 8:00

Bonsoir, ô toi lecteur curieux,
Si tu es venu jusqu’à cette page, c’est sûrement pour connaître mon histoire, non ?
Alors je vais commencer par te mettre en garde, mon histoire risque de ne pas t’intéresser puisque tu viens d’un milieu plus favorisé que le mien et que tu n’as aucune raison de intéresser à moi et à ma pauvre vie, je pense que tu auras sans nul doute mieux à faire et que tu ne liras pas ce message dans son intégralité, je ne veux pas te forcer à essayer, mais si tu veux juger de la véracité de mon histoire et réagir sur ce que je vais te conter, c’est mieux de lire ce récit jusqu’au bout, et après m’avoir lu, qui pourra dire au Grand Pandawa qu’il eut une vie égale à la mienne…

Je vais commencer par vous raconter mon enfance. Je suis née dans une modeste famille de Pandawa quand je dis modeste, c’est pour ne pas dire pauvre. Mon père, un fidèle serviteur de la Déesse Pandawa, tenait une taverne, mais il était concurrencé par la Taverne du Pandawa Ivre, plus connue et plus réputée que celle de mon père, qui dû mettre la clef sous la porte. Il chercha un autre emplois, puis fut embauché par Stayfun Bonnawa, le chocolatier de l’île de Pandala, son salaire n’était pas très important mais il était suffisant pour lui permettre de s’acheter ses doses nécessaires de Pandapiler, sa bière préférée ; ma mère, elle, faisait le ménage dans un salon de massage.
C’est par un jour de forte de chaleur, et donc de grande soif, que je suis arrivée dans cette famille. Quelques semaines après ma naissance, je ne buvais déjà plus au mamelles de Pandam’man, ma cher maman, mais on me préparait déjà des biberons dans lesquels étaient mélangés de la bière et du lait de bambou. Mon père, Pandam’pa, voulait faire de moi une grande guerrière panda, qui n’aurait pas de problèmes, qui saurait se défendre dans n’importe quelle situation, et qui serait respectée des autres pandas.

Un jour, alors que mon père allait travailler dans notre petit jardin, il trouva au milieu des plantations un être ressemblant à un gros chacha, un très gros chacha. Il s’en approcha et reconnu un bébé Ecaflip. Il le pris dans ses bras et vit un mot posé à côté de celui-ci. Je n’ai plus souvenir du contenu exact de ce mot, j’étais encore jeune quand cet événement est venu chambouler ma vie, mais je me souviens tout de même du message que portait cette lettre. Elle avait été écrite par la maman de cette écaflip ; elle disait que son mari c’était fait tuer par un ange dont elle ignorait le nom et qu’elle devait fuir pour se mettre à l’abri avec son bébé prénommé Ciboulette. Mon père scruta les alentours pour essayer de trouver l’auteur de cette lettre, mais ne vit personne. Il décida donc d’adopter Ciboulette, et de l’élever comme sa propre fille, du moins il essaya…

Il se rendit bien vite compte que les écaflips n’avaient pas la même manière de vivre que les pandas, et l’éducation de Ciboulette fut bien difficile. Il devait donc passer plus de temps avec elle pour comprendre comment l’éduquer, car il ne connaissait pas d’écaflip pour le conseiller. Il devait donc agir seul, et il passa donc moins de temps avec moi, ce qui m’agaçait réellement.
Au lieu d’élever cette ‘‘demi-sœur’’, car c’est celle qu’elle était devenue, comme leur propre fille ils l’élevèrent mieux que leur véritable propre fille. Chaque jour je me disais que je ne tiendrais jamais longtemps sans réagir mais, chaque jour, je ne réagissais pas, et je la laissais me prendre mes parents sans réagir.

Les mois ont passés, les sentiments n’ont pas changés, mais moi je suis restée. Le jour d’apprendre mon premier sort était venu. Je me rendis à la Pandawacadémie afin d’être conseiller sur la manière d’utiliser mes sorts (Comment ? tu n’as jamais entendu parler de la Pandawacadémie ? C’est normal, tu ne connais pas tous les secrets et les mystères de Pandala… Bon, où en étais-je ?). Pendant ce temps-là, mes parents, au lieu de m’accompagner, comme le font tous les parents ce jour-là, se sont rendus à la bibliothèque de Pandala afin de se renseigner, et savoir comment mieux apprendre à Ciboulette à utiliser ses sorts. J’étais donc la seule élève à être venue seule.
A la fin de cette journée exténuante, je décidai de ne pas rentrer chez moi, je me sentais plus forte et capable de me débrouiller seule. Après quelques minutes de marche vers le pont reliant Pandala à Amakna, je me fis attaquer par deux Araknes. Je me dis alors que c’était l’occasion rêvée pour pouvoir essayer enfin mes attaques, mais très vite, je compris que j’allais perdre et mourir.

C’est à ce moment que j’aperçus Ciboulette qui bondissait vers moi pour venir m’aider et qui, par son pile ou face, avait éliminé ses deux petites bêtes. Je me relevai, et voulu continuer mon chemin sans même la regarder, mais je ne pouvais plus avancer, le premier sort que j’avais lancé était Picole, et j’étais encore sous les effets de ce sort ; je ne pouvais donc plus me déplacer. Ciboulette m’emmena avec elle et me fit boire du lait de bambou, sa boisson préférée; elle en avait toujours avec elle. Puis, pendant que je me soignais, elle me rassura en disant qu’elle n’en parlerait pas aux parents et que si je le voulais bien, elle m’aiderait à devenir plus forte. Je compris alors que celle que je considérais jusqu’à présent comme une étrangère ne voulait pas prendre ma place et qu’elle le regrettait. C’est depuis ce jour, que je ne considère plus Ciboulette comme une étrangère mais comme ma vraie sœur, et c’est avec elle que j’allais poursuivre mes aventures…
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